Ma Reine semble apprécier sa monture ..
Je me souvient de quelques marques sur les fesses
huumm dévouement et obéissance à ma Reine adorée
impossible d’échapper à la "torture"
Comme je vous l ai dis, dans mes relations précédentes je n ai jamais recherché la douleur, mais j aime bien me souvenir de notre dernier après midi au miladys .
Ce moment ou vous me chevauchiez me donnais la douce sensation de vous appartenir, telle une monture sauvage capturée . La marque éphémère faite avec votre cravache et les frissons ressentis dans mon oreille sont encore bien présent dans mon esprit, j aime y repenser.
Nous étions comme dans une arène vide, tel le torero face à la bête , pas besoin de paroles, nos regards suffisent, mais parfois les rôles s inversent pour notre plus grand plaisir.
Comme dans l arène, les sensations sont intenses. Le soleil brûlant et le vent nous accompagnent, mais dans notre combat a nous il n y aura que la "petite mort", ce moment d'abandon de l un à l autre et nos corps enlacés.
La corrida nous ressemble par le côté passionnel, le fétichisme et la mise en scène : c est la taureau-machine. !!
On pourrai y faire un parallèle de bout en bout, commençant par la rencontre avec le taureau. Phase d' observation et de ressenti, prise de rendez vous pour le jour J.
Le torero provoque l animal, l attire vers lui. Ces deux la se frôlent, la tention est palpable (smile ). Si le taureau est à la hauteur, le torero peu lui faire cadeau de sa vie.
N' est ce pas le summum du pouvoir ?
